TRADUIRE LE BLOG DE JB
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Le sperme est composé :
On distingue trois phases le plus souvent très rapprochées :
- la phase d'émission : c'est une phase de préparation, où le produit des vésicules séminales, des testicules, des anses épididymo-défentielles et de la prostate,… se concentre dans l'urètre postérieur après être sorti des canaux éjaculateurs (situé dans la prostate). C'est comme si « l'homme se charge », avec une sensation préparatoire, qui n'est pas encore concomitante de l'orgasme.
- la phase d'expulsion : le sperme, concentré dans l'urètre, est expulsé, grâce à une contraction de tous les muscles du périnée et de l'urètre, avec une ouverture du sphincter strié et une fermeture du col vésical (afin que le sperme ne remonte pas dans la vessie). L'éjaculation se fait avec plusieurs saccades, classiquement espacées de 0,8 secondes, avec la contraction de tout l'appareil génital interne et des muscles du périnée.
- la phase de l'orgasme, en général concomitante de l’éjaculation grâce aux sensations positives au niveau du périnée qui induit an niveau cérébral une sensation de plaisir intense et maximal. L’orgasme est donc la réponse cérébrale et sensorielle en miroir de la cascade physiologique se déroulant au niveau du périnée. Il est associé à des signes généraux comme une augmentation de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle, à la dilatation des pupilles et d’autres manifestations variables selon les individus (rougeur de la peau, sudation, contractures musculaires globales, etc…)
1,5 à 4,5 ml desperme(1/2 à 1 cuillère à café) sont éjaculés, après 2 à 3 jours d'abstinence, contenant en moyenne 15 millions de spermatozoïdes par millilitre. Cette quantité varie suivant la fréquence des éjaculations : au delà de 2 éjaculations par jour, moins d'1 ml sont le plus souvent produits. Les films pornographiques faussent la réalité et peuvent perturber les hommes qui les regardent, s'ils sont persuadés qu'il s'agit de la réalité.
Le taux de testostérone (hormone mâle produite par les testicules) détermine la production de sperme : s'il y a peu d'hormone mâle, il y a moins de sperme . Avec l'âge, la production de testostérone diminue et entraîne donc une diminution de la quantité de sperme (une baisse de désir et d'autres symptômes variés). En revanche, ladurée du rapport sexueln'influence pas la quantité éjaculée.
Le sperme a habituellement une couleur blanchâtre, transparente ou un peu jaune. Cette couleur est variable selon les hommes et les moments car les proportions des différents composants du sperme peuvent varier. En cas de rapports fréquents, le sperme peut devenir plus transparent et sa quantité est moins grande. Le sperme peut être jaune, sans que cela soit pathologique : cette couleur s'expliquant par l'oxydation d'une spermine, une protéine responsable de l'odeur du sperme.
Devant tout changement de couleur, il est conseille d'en parler à son médecin afin de planifier une spermoculture qui vérifiera l'absence d'infection et de germes. Le recueil de sperme se fait à domicile dans un flacon, qui sera ensuite déposé au laboratoire.
Ainsi le sperme prend parfois une coloration rouge, ce qui traduit habituellement la présence de sang. Inquiétant pour l'homme, c'est le plus souvent sans gravité et se soigne tout seul. Un vaisseau, au niveau des vésicules séminales produisant le liquide séminal, peut se rompre (suite à une infection ou un traumatisme par exemple). Ou dans un contexte de fièvre, une prostatite peut être évoquée. Chez l'homme âgé, il faut systématiquement vérifier qu'il n'y a pas de cancer de la prostate, car le sang dans le sperme peut être sa première manifestation. Les examens complémentaires réalisés seront une analyse d'urines, une spermoculture, un toucher rectal.
ET VOUS QU'EN PENSEZ VOUS??
La campagne anglaise « Cock in a sock » fait beaucoup parler d’elle. Ça tombe bien, c’était le but
l
On peut toujours compter sur les anglais pour trouver des campagnes de sensibilisation originales. Dernier exemple en date: la campagne « Cock in a sock » (« une bite dans une chaussette ») entend lever des fonds pour financer la recherche contre le cancer des testicules, tout en sensibilisant de le public à cette question.
Le principe est simple: il suffit de poster une photo de vous – avec une chaussette pour habiller votre pénis – sur Instagram avec le hashtag #cockinasock. Plus de 3000 personnes l’ont déjà fait, dont le rugbyman gallois Gareth Thomas. Et pour donner, vous pouvez le faire via SMS ou grâce à ce site. Et si c’est une campagne anglaise, rien ne vous interdit de le faire depuis la France. D’ailleurs, la campagne est en train de faire le tour du web, donc elle est maintenant internationale…
Vous pouvez suivre la campagne sur Instagram bien sûr, sur Twitter et sur Facebook.
(Source TETU)
Intérêt du diagnostic et de la prise en charge précoce
On sait aujourd'hui qu'il est important de traiter une infection par le VIH le plus tôt possible et, surtout, avant qu'elle n'arrive au stade sida.
On sait aussi, désormais, déceler la présence du virus dans l'organisme vers le 15ème jour après la contamination.
Environ 15 jours après la contamination se produit la primo-infection.
Elle s'accompagne souvent de signes, en particulier d'une fièvre et d'une angine.
En général, ces signes conduisent à consulter un médecin.
Il est important, alors, de lui signaler les situations à risque vécues récemment et de répondre à ses questions concernant les pratiques sexuelles, les partenaires, les pratiques éventuelles
d'usage de drogue par voie intraveineuse.
Parfois ces signes ne se produisent pas mais, même dans ce cas , des tests permettent de déceler la présence du virus à partir du 15ème
jour suivant la contamination.
Si ces tests révèlent qu'il y a eu contamination, le médecin proposera une surveillance et pourra engager un traitement précoce permettant de lutter contre l'infection dans les meilleures
conditions possibles.
Les tests de dépistage et la signification des résultats
A partir d'une prise de sang, selon la méthode utilisée, les tests de dépistage du VIH permettent de détecter :
- soit le virus lui-même,
- soit les anticorps que l'organisme fabrique pour se défendre en cas d'infection.
Résultat positif
Un résultat positif signifie que la personne a été infectée. Une prise en charge lui est alors proposée.
Les traitements actuels sont destinés à ralentir ou a empêcher l'évolution vers la maladie du sida.
Ils améliorent souvent considérablement la qualité de vie des personnes atteintes.
Ces traitements sont plus efficaces s'ils sont proposés le plus tôt possible après le diagnostic de l'infection.
Le traitement de l'infection ne fait pas disparaître le risque de
transmission du virus.
Dès qu'une personne est atteinte par le VIH, alors même qu'elle ne le sait pas encore, elle peut le transmettre à son ou ses partenaires, si les rapports sexuels ne sont pas
protégés.
Faire une démarche de dépistage c'est donc, en cas de résultat positif, pouvoir bénéficier d'un traitement et aussi pouvoir être informé et encouragé de façon à protéger son ou ses partenaires en adoptant les moyens de prévention nécessaires.
Résultat négatif
En cas de résultat négatif, on ne peut assurer à une personne qu'elle n'a pas été atteinte par le VIH que si trois mois se sont
écoulés depuis la dernière situation à risque.
C'est pourquoi un test deconfirmation doit être pratiqué à la fin de ce délai.
Pendant cette période d'incertitude, la personne peut être soutenue et conseillée par ceux par qui elle est suivie.
Il est important qu'elle se protège et qu'elle protège son ou ses partenaires lors de rapports sexuels.
Un test de dépistage n'est pas un moyen de prévention : il informe une
personne sur sa situation par rapport au VIH à un moment donné.
Un test dont le résultat est négatif ne protège pas d'une éventuelle contamination future par le virus, si les précautions nécessaires ne sont pas prises.
A quel moment effectuer une démarche de dépistage ?
Pour les cas nécessitant une consultation en urgence dans les heures qui suivent la situation à risque.
Il ne faut jamais attendre pour faire une démarche de dépistage du VIH, quelle que soit la raison qui conduit à penser qu'elle est nécessaire :
- crainte d'avoir pris un risque et d'être atteint par le virus.
Il peut s'agir d'une inquiétude globale, liée au mode de vie de la personne dans son existence actuelle ou passée, oui bien d'une crainte par rapport à une situation à risque plus précise,- dans une relation de couple, désir d'être certain, de part et d'autre, de ne pas être atteint, par le VIH, par exemple afin de pouvoir abandonner l'utilisation du préservatif,
- besoin de se rassurer et de se conforter pour maintenir ses conduites préventives habituelles,
- grossesse.
Dans chacune de ces circonstances, il ne sert à rien d'attendre : il y a des questions à se poser, des conseils
à rechercher, des informations médicales à obtenir.
La démarche de dépistage permet le plus souvent de lever l'inquiétude ; elle aide également, si nécessaire, à compléter ses connaissances sur les pratiques de protection.
Comment se passe le dépistage ?
Une demande de dépistage est une démarche personnelle et volontaire auprès de son médecin ou d'un médecin exerçant dans un centre de dépistage.
Le dépistage ne peut être fait qu'à la demande de la personne ou avec son accord, s'il lui est proposé. Il s'agit d'un acte de biologie médicale confidentiel, protégé par le secret médical et qui doit s'accompagner de conseils, de possibilités de dialogue.
Lors de la consultation, le rôle du médecin est de procéder avec la personne à un examen de la situation puis, si nécessaire, de prescrire des tests-diagnostic adaptés. En effet, une consultation de dépistage n'aboutit pas automatiquement à la réalisation d'un test. C'est le dialogue avec le médecin qui conduira à la décision de prescrire ou non un test.
Si on désire garder l'anonymat, on peut se rendre dans un centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG). Les adresses de ces centres peuvent être obtenues par minitel (3611 code SIDA puis le numéro du département), par Sida Info Service (0800 840 800), ou encore auprès de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDADS)
Toute personne peut se rendre dans un centre simplement pour obtenir des informations ou des conseils. Il n'y a pas besoin d'ordonnance médicale. Un personnel accueille et explique la démarche de dépistage.
Si la personne souhaite effectuer un dépistage, elle rencontre un médecin pour un entretien individuel. Si un test est proposé, la prise de sang est réalisée sur place par un(e) infirmier(e). Les résultats sont remis quelques jours après par un médecin de centre, qui explique leur signification.
La demande de dépistage peut également se faire chez un médecin en cabinet : celui-ci établit une ordonnance qui permet de se rendre dans un laboratoire d'analyses médicales. Une fois les résultats connus, la personne peut s'entretenir avec son médecin de leur signification et bénéficier de conseils adaptés à la situation. Dans ce cas, le dépistage est remboursé à 100 % aux assurés sociaux.
La prise en charge sociale et médicale en cas d'infection
Toute personne atteinte par le VIH peut bénéficier, si elle le souhaite, d'une prise en charge médicale et sociale adaptée à sa situation. Aujourd'hui, les traitements commencés précocement ralentissent fortement l'évolution de l'infection. De plus, on sait éviter certaines maladies (dites opportunistes) qui peuvent l'accompagner ou lutter efficacement contre elles.
Les traitements antirétroviraux actuels sont contraignants et ne font par disparaître l'infection à VIH, mais ils ont transformés la vie d'un grand nombre de personnes atteintes en améliorant considérablement leur état général.
Ces traitements sont actuellement donnés en associant le plus souvent trois médicaments (thithérapies), ou deux (bithérapies).
Le virus est présent dans les liquides biologiques de l'organisme des personnes atteintes :
- le sang
- chez l'homme : le sperme et le liquide séminal (qui s'écoule au début de l'érection)
- chez la femme : les sécrétions vaginales et le lait.
C'est par l'intermédiaire de ces liquides que le VIH se transmet.
Le virus est en quantité trop faible dans la salive, la sueur, les larmes ou l'urine pour qu'il puisse se transmettre par l'intermédiaire de ces liquides. Ceux-ci ne sont pas contaminants.
Le virus ne se transmet par aucun des gestes de la vie quotidienne.
Il ne se transmet ni par les poignées de main, ni par les caresses, ni par les baisers.
Le VIH ne transmet pas par l'utilisation d'équipements publics (toilettes, douches, piscines...)
Il ne se transmet pas non plus par l'intermédiaire d'objets utilisés dans la vie courante : verres, couverts, etc...
Le VIH ne se transmet pas par les piqûres d'insectes.
Pour pénétrer dans l'organisme, le virus doit trouver une porte d'entrée :
- muqueuse, lors d'un rapport sexuel non protégé (les muqueuses sont les membranes qui tapissent les parois internes des cavités naturelles de l'organisme : bouche, vagin, rectum...)
- voie sanguine (transmission en cas d'utilisation d'une seringue usagée pour une injection de drogue par voie intraveineuse / transmission de la mère à l'enfant pendant la grossesse....)
- voie cutanée (en cas de blessure avec un objet souillé de sang contaminé)
Quelles sont les situations et les pratiques à risque
1) Les relations sexuelles non protégées.
- Les rapports avec pénétration
On parle de pratiques à risques lorsque des rapports sexuels, pouvant être contaminants, ont lieu entre deux personnes sans protection
Il y a situation à risques de transmission chaque fois que des personnes ont un rapport sexuel avec pénétration sans
préservatif, alors qu'elles n'ont pas la certitude absolue qu'aucune d'entre elle n'est atteinte par le VIH ou alors qu'elles savent que l'une d'entre elle en est atteinte.
Les rapports sexuels avec pénétration anale ou vaginale sans préservatif sont le principal mode de transmission du virus.
ATTENTION : LE BLOG DE JB EST A 95% "BAREBACK/SANS CAPOTE"
cela ne constitue en aucun cas une incitation à baiser sans capote !
Je rappelle que seul le préservatif est efficace pour éviter la transmission
des MST notamment le sida !
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